L’agence de paris Ladbrokes du Bizet victime d’un braquage

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Braquage à l’agence de paris Ladbrokes au Bizet

Pour la seconde fois cette année 2015, l’agence de paris Ladbrokes située au 326 rue d’Armentières au Bizet a été victime d’un braquage. Les faits se sont produits le samedi dernier, alors que l’établissement avait déjà fermé. Le gérant et son collègue étaient encore présents dans la salle de paris lorsque les voleurs ont subitement surgi.

Ils ont cassé la vitre de la porte principale de l’établissement avec un pied-de-biche, puis ils ont pénétré à l’intérieur et menacé de leurs armes les personnes présentes. Le collègue du gérant aurait bien souhaité réagir, mais son ami lui avait fait comprendre qu’il était préférable de ne pas protester. Il lui a dit : « Je préfère qu’on prenne l’argent plutôt que la vie ».

Les bandits ont exigé que le gérant leur remette le contenu de la caisse qui s’élevait à près de 4 000 euros. Impuissant, ce dernier s’est exécuté, et les bandits se sont enfuis sans plus attendre. Un véhicule les attendait à quelques mètres de l’agence, et celui-ci a démarré en prenant la direction de la frontière française.

Aucune trace des malfaiteurs

Le gérant de l’agence de paris a contacté la police tout de suite après, mais celle-ci n’a pas pu mettre la main sur les voleurs. Pour obtenir plus rapidement des indices et des réponses concluantes, les policiers belges ont associé leurs collègues français à cette enquête. Mais pour l’instant, les recherches n’ont pas encore abouti, et l’identité des malfrats demeure inconnue.

Il en est de même pour le premier braquage intervenu le 19 janvier passé : jusqu’ici, la police n’a pas encore retrouvé les coupables. L’avantage, c’est qu’à l’époque, le braquage s’était soldé par un échec, les bandits n’ayant pu emporter leur butin. En outre, ce premier braquage avait été effectué à l’arme blanche, tandis que celui-ci a été commis avec des armes modernes.

Seuls les résultats de l’enquête pourront permettre d’en savoir plus sur cette affaire qui trouble la quiétude des habitués de l’établissement de paris. Affaire à suivre donc…