Unibet.be : Vers un accès libre pour les femmes aux tables de poker

Cet article est daté du 20 mars 2016, le contenu lié aux promotions n'est plus valable. Toute promotion décrite ci-dessous a expiré.

Pour marquer la journée de la Femme, Unibet.be a publié un document inédit sur la place occupée par les femmes aux tables de poker. 3 joueuses professionnelles ont apporté leur témoignage, montrant qu’il est encore difficile pour les femmes de jouer à ce jeu réputé masculin.

Est-ce facile pour une femme de jouer au poker ?

On pourrait dire répondre favorablement à cette question, mais ce n’est pas réellement le cas… Les femmes jouent très peu au poker non par manque d’expérience, mais surtout parce qu’elles sont victimes de sexisme et de mauvais traitements. Elles sont généralement « flouées » et dévalorisées par leurs adversaires masculins. Comme l’indique si bien la joueuse américaine Jessica Welman, les femmes craignent également pour leur sécurité quand elles participent à des tournois live. Elles redoutent d’être agressées par ces hommes frustrés du fait de perdre face à une femme. Et malheureusement, cette attitude machiste est si prononcée qu’il arrive que les femmes soient spoliées de leurs récompenses, comme ce fût le cas lors d’un tournoi féminin de Deauville.

Une timide percée avec le poker en ligne

Cependant, l’espoir s’est vu renaitre avec l’arrivée des salles de jeux en ligne. Sur Unibet.be, on compte 15 % de femmes jouant au poker, contre une moyenne de 5 % pour les autres plateformes. Il faut dire qu’Unibet.be a mis en place un système de jeu totalement neutre qui ne permet pas aux joueurs d’échanger entre eux. L’intégrité et la confidentialité de chacun sont alors respectées… Et d’une manière plus générale, les femmes bénéficient de la discrétion qu’offrent les salles de jeux virtuelles. Elles s’y sentent plus à l’aise et peuvent facilement se livrer à leur passion du jeu.

Les femmes, grandes absentes des évènements majeurs

Mais même si cette avancée est positive et remarquable, on est bien obligé de reconnaitre que les femmes sont très peu représentées lors d’évènements de grande envergure tels que le WSOP (World Series of Poker). Tina Lange, une autre joueuse américaine, explique qu’il est très rare qu’une femme parvienne à la table finale du WSOP. Selon elle, cela n’est point dû au fait que les femmes ne sont pas capables, mais c’est plutôt la conséquence immédiate du fait que leur effectif de départ est plus qu’infime comparé à celui des hommes. Ces conditions ne sont pas de nature à motiver les jeunes femmes ou jeunes filles qui pourraient avoir envie de jouer au poker.

Pour ces femmes, la solution n’est pas forcément dans la lutte contre le sexisme, ou dans l’organisation d’évènements exclusivement dédiés aux femmes. Il faut juste que les femmes jouent de plus en plus au poker et participent davantage aux grandes rencontres. Charlotte Van Brabander en est la preuve : elle a remporté la dernière édition de l’Unibet Open de Londres, et toutes les joueuses feraient bien de penser comme elles qu’être une femme peut être un grand avantage quand on joue au poker.